La Réserve fédérale (FED) des États-Unis a annoncé lundi (24 juin) qu'elle ordonnerait aux régulateurs de ne plus prendre en compte le « risque de réputation » comme critère d'évaluation lors de l'examen des banques, et qu'elle retirerait ce standard de son manuel réglementaire et des documents connexes. Cette décision est perçue comme une réponse aux critiques de longue date du secteur financier concernant la subjectivité excessive de cet indicateur, et elle est alignée sur d'autres principales autorités de régulation financière.
Qu'est-ce que le « risque réputationnel » ? La Réserve fédérale (FED) a décidé de ne plus intervenir.
Selon la définition de la Réserve fédérale (FED), le "risque de réputation" fait référence au risque potentiel de dommages aux activités bancaires en raison d'opinions négatives, pouvant même entraîner des poursuites coûteuses. Cependant, de nombreux acteurs bancaires affirment que cette évaluation des risques implique souvent un jugement subjectif, ce qui conduit à ce que certaines activités commerciales, bien que légales, soient sanctionnées par les régulateurs. À cet égard, la Réserve fédérale (FED) a finalement décidé de mettre fin au "risque de réputation" et de se concentrer sur des indicateurs de risque financier quantifiables.
En phase avec d'autres institutions, les agences fédérales ajustent unanimement leur orientation réglementaire.
Le recent changement de politique de La Réserve fédérale (FED) s'aligne également sur d'autres agences de régulation bancaire américaines, y compris l'Office of the Comptroller of the Currency (OCC) et la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), qui ont récemment cessé d'utiliser le "risque de réputation" comme critère d'examen bancaire. Cela reflète une montée de l'importance accordée à l'"exécutoire" et à l'"objectivité" dans l'environnement réglementaire global.
Le risque réputationnel peut encore être auto-évalué par les banques, la responsabilité en matière de gestion des risques n'a pas diminué.
Bien que la réglementation officielle ne considère plus le risque réputationnel comme un élément d'évaluation, la Réserve fédérale (FED) souligne que les banques peuvent toujours prendre en compte ce risque dans leur processus de décision. La Réserve fédérale (FED) rappelle également que les banques doivent maintenir une structure de gestion des risques solide pour faire face aux défis d'un marché diversifié et garantir la stabilité des opérations.
Pourquoi annuler l'évaluation des risques de réputation ? La pression du secteur est la clé.
L’une des principales raisons de l’annulation de l’évaluation du « risque de réputation » est la pression à long terme du secteur bancaire. Les acteurs de l’industrie estiment que le risque de réputation est très subjectif, ce qui peut facilement conduire à des résultats réglementaires incohérents et même affecter le développement d’entreprises innovantes légitimes. Surtout dans le contexte du développement rapide des actifs virtuels et des fintechs, les questions de réputation sont devenues plus ambiguës et plus sujettes à la controverse.
Cette décision montre que les organismes de réglementation financière américains s'orientent vers une gestion des risques plus transparente et basée sur les données, tout en essayant d'équilibrer réglementation et innovation. Bien que le "risque réputationnel" ait été retiré du cadre réglementaire, l'image publique reste cruciale pour les banques, mais désormais, la responsabilité revient plus clairement aux institutions financières elles-mêmes.
Cet article indique que La Réserve fédérale (FED) ne régulera plus les « risques de réputation » des banques, mais se concentrera sur la gestion des risques financiers. Publié pour la première fois dans Blockchain News ABMedia.
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La Réserve fédérale (FED) ne régulera plus le "risque de réputation" des banques, mais se concentrera sur la gestion des risques financiers.
La Réserve fédérale (FED) des États-Unis a annoncé lundi (24 juin) qu'elle ordonnerait aux régulateurs de ne plus prendre en compte le « risque de réputation » comme critère d'évaluation lors de l'examen des banques, et qu'elle retirerait ce standard de son manuel réglementaire et des documents connexes. Cette décision est perçue comme une réponse aux critiques de longue date du secteur financier concernant la subjectivité excessive de cet indicateur, et elle est alignée sur d'autres principales autorités de régulation financière.
Qu'est-ce que le « risque réputationnel » ? La Réserve fédérale (FED) a décidé de ne plus intervenir.
Selon la définition de la Réserve fédérale (FED), le "risque de réputation" fait référence au risque potentiel de dommages aux activités bancaires en raison d'opinions négatives, pouvant même entraîner des poursuites coûteuses. Cependant, de nombreux acteurs bancaires affirment que cette évaluation des risques implique souvent un jugement subjectif, ce qui conduit à ce que certaines activités commerciales, bien que légales, soient sanctionnées par les régulateurs. À cet égard, la Réserve fédérale (FED) a finalement décidé de mettre fin au "risque de réputation" et de se concentrer sur des indicateurs de risque financier quantifiables.
En phase avec d'autres institutions, les agences fédérales ajustent unanimement leur orientation réglementaire.
Le recent changement de politique de La Réserve fédérale (FED) s'aligne également sur d'autres agences de régulation bancaire américaines, y compris l'Office of the Comptroller of the Currency (OCC) et la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), qui ont récemment cessé d'utiliser le "risque de réputation" comme critère d'examen bancaire. Cela reflète une montée de l'importance accordée à l'"exécutoire" et à l'"objectivité" dans l'environnement réglementaire global.
Le risque réputationnel peut encore être auto-évalué par les banques, la responsabilité en matière de gestion des risques n'a pas diminué.
Bien que la réglementation officielle ne considère plus le risque réputationnel comme un élément d'évaluation, la Réserve fédérale (FED) souligne que les banques peuvent toujours prendre en compte ce risque dans leur processus de décision. La Réserve fédérale (FED) rappelle également que les banques doivent maintenir une structure de gestion des risques solide pour faire face aux défis d'un marché diversifié et garantir la stabilité des opérations.
Pourquoi annuler l'évaluation des risques de réputation ? La pression du secteur est la clé.
L’une des principales raisons de l’annulation de l’évaluation du « risque de réputation » est la pression à long terme du secteur bancaire. Les acteurs de l’industrie estiment que le risque de réputation est très subjectif, ce qui peut facilement conduire à des résultats réglementaires incohérents et même affecter le développement d’entreprises innovantes légitimes. Surtout dans le contexte du développement rapide des actifs virtuels et des fintechs, les questions de réputation sont devenues plus ambiguës et plus sujettes à la controverse.
Cette décision montre que les organismes de réglementation financière américains s'orientent vers une gestion des risques plus transparente et basée sur les données, tout en essayant d'équilibrer réglementation et innovation. Bien que le "risque réputationnel" ait été retiré du cadre réglementaire, l'image publique reste cruciale pour les banques, mais désormais, la responsabilité revient plus clairement aux institutions financières elles-mêmes.
Cet article indique que La Réserve fédérale (FED) ne régulera plus les « risques de réputation » des banques, mais se concentrera sur la gestion des risques financiers. Publié pour la première fois dans Blockchain News ABMedia.