La question de la taxation des transactions en monnaie virtuelle suscite un suivi
Récemment, des informations ont circulé selon lesquelles un contribuable du Zhejiang, ayant réalisé des bénéfices grâce à des transactions de monnaie virtuelle sans les déclarer de manière proactive, a été contraint de payer un impôt sur le revenu et des pénalités de retard totalisant 127 200 yuan. Cette nouvelle a suscité un large débat sur la nécessité de payer des impôts sur les transactions de monnaie virtuelle.
En tant qu'avocat ayant suivi de près le domaine du web3, l'auteur est sceptique quant à l'existence d'une politique fiscale claire sur la monnaie virtuelle en Chine. Avant d'explorer cette question en profondeur, nous devons d'abord confirmer si les contribuables mentionnés dans l'annonce de l'administration fiscale du Zhejiang ont effectivement effectué des transactions de jeton, car l'annonce officielle ne précise pas le contenu des transactions.
Actuellement, les affirmations concernant l'imposition de ce contribuable en raison des transactions de monnaie virtuelle proviennent principalement d'une divulgation d'une entreprise technologique. Cependant, les informations fournies par cette entreprise présentent certains points discutables. Tout d'abord, notre pays ne nie pas la légitimité de la monnaie virtuelle, mais ne reconnaît pas sa nature de monnaie légale. Ensuite, les investisseurs ordinaires ont rarement des situations de "trader des USDT", car l'USDT est un jeton stable. Enfin, la "bonne pratique" suggérée par cette entreprise est difficile à mettre en œuvre pour le grand public.
D'un point de vue juridique, la législation actuelle de notre pays ne prévoit pas de dispositions claires concernant la taxation des transactions de monnaie virtuelle. Bien qu'en 2008, l'Administration nationale des impôts ait émis une réponse concernant la taxation des transactions de monnaie virtuelle en ligne, à cette époque, le Bitcoin n'était pas encore né, et il reste des doutes quant à l'applicabilité de cette réponse aux monnaies virtuelles actuelles.
Selon la réglementation actuelle, le continent chinois interdit les transactions de monnaie virtuelle et les activités connexes, ces activités étant qualifiées d'"activités financières illégales". Dans ce contexte, il est logiquement, légalement et politiquement difficile pour les autorités fiscales d'imposer des taxes sur les transactions de monnaie virtuelle.
Cependant, dans la pratique, il n'est pas exclu que des autorités fiscales, par méconnaissance des politiques de régulation en vigueur, imposent des taxes aux investisseurs ayant transféré des gains en monnaie virtuelle sur des comptes bancaires en mainland. Pour les investisseurs susceptibles de rencontrer des situations similaires, il est conseillé de consulter un avocat spécialisé pour obtenir des conseils spécifiques.
Dans l'ensemble, la question de la taxation des transactions de monnaie virtuelle en Chine reste dans une zone grise. Avant que les autorités ne publient une politique claire, les investisseurs doivent agir avec prudence et bien comprendre les risques associés.
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RektCoaster
· 08-09 21:03
Le mur d'accent est complètement dénudé, pas étonnant que ce soit le bureau des impôts.
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MetaNeighbor
· 08-09 21:00
Cette politique n'est même pas décidée, comment peut-on taxer ?
Monnaie virtuelle transaction imposée en débat, la législation et les politiques ne sont pas encore claires.
La question de la taxation des transactions en monnaie virtuelle suscite un suivi
Récemment, des informations ont circulé selon lesquelles un contribuable du Zhejiang, ayant réalisé des bénéfices grâce à des transactions de monnaie virtuelle sans les déclarer de manière proactive, a été contraint de payer un impôt sur le revenu et des pénalités de retard totalisant 127 200 yuan. Cette nouvelle a suscité un large débat sur la nécessité de payer des impôts sur les transactions de monnaie virtuelle.
En tant qu'avocat ayant suivi de près le domaine du web3, l'auteur est sceptique quant à l'existence d'une politique fiscale claire sur la monnaie virtuelle en Chine. Avant d'explorer cette question en profondeur, nous devons d'abord confirmer si les contribuables mentionnés dans l'annonce de l'administration fiscale du Zhejiang ont effectivement effectué des transactions de jeton, car l'annonce officielle ne précise pas le contenu des transactions.
Actuellement, les affirmations concernant l'imposition de ce contribuable en raison des transactions de monnaie virtuelle proviennent principalement d'une divulgation d'une entreprise technologique. Cependant, les informations fournies par cette entreprise présentent certains points discutables. Tout d'abord, notre pays ne nie pas la légitimité de la monnaie virtuelle, mais ne reconnaît pas sa nature de monnaie légale. Ensuite, les investisseurs ordinaires ont rarement des situations de "trader des USDT", car l'USDT est un jeton stable. Enfin, la "bonne pratique" suggérée par cette entreprise est difficile à mettre en œuvre pour le grand public.
D'un point de vue juridique, la législation actuelle de notre pays ne prévoit pas de dispositions claires concernant la taxation des transactions de monnaie virtuelle. Bien qu'en 2008, l'Administration nationale des impôts ait émis une réponse concernant la taxation des transactions de monnaie virtuelle en ligne, à cette époque, le Bitcoin n'était pas encore né, et il reste des doutes quant à l'applicabilité de cette réponse aux monnaies virtuelles actuelles.
Selon la réglementation actuelle, le continent chinois interdit les transactions de monnaie virtuelle et les activités connexes, ces activités étant qualifiées d'"activités financières illégales". Dans ce contexte, il est logiquement, légalement et politiquement difficile pour les autorités fiscales d'imposer des taxes sur les transactions de monnaie virtuelle.
Cependant, dans la pratique, il n'est pas exclu que des autorités fiscales, par méconnaissance des politiques de régulation en vigueur, imposent des taxes aux investisseurs ayant transféré des gains en monnaie virtuelle sur des comptes bancaires en mainland. Pour les investisseurs susceptibles de rencontrer des situations similaires, il est conseillé de consulter un avocat spécialisé pour obtenir des conseils spécifiques.
Dans l'ensemble, la question de la taxation des transactions de monnaie virtuelle en Chine reste dans une zone grise. Avant que les autorités ne publient une politique claire, les investisseurs doivent agir avec prudence et bien comprendre les risques associés.